Dans une ambiance simple et joyeuse, le pèlerinage des épouses et mères de famille a vu des femmes de tous horizons et milieux marcher ensemble, méditer le chapelet, adorer le Saint Sacrement, franchir la Porte Sainte à Sainte Anne d’Auray, se nourrir des enseignements et partager ce qui fait leur vie. « L’idée du pélé est de prendre du temps pour le Seigneur et pour soi… un temps à l’écart où la beauté des lieux porte à la prière… » rappelle Sophie Le Dreff. Voici pour les premiers ingrédients auxquels s’ajoutent enseignements, prière du chapelet, adoration, …
Les enseignements du Père Arnauld Calonne, curé-doyen d’Arradon, ont trouvé une résonance dans le quotidien de chacune, nourrissant leur regard sur leur vie d’épouses et de mères. « La présence de Sœur Clothilde (Famille Missionnaire de Notre-Dame – Le Vincin) nous a donné le goût de la pratique du chapelet dont les méditations étaient si porteuses ».
Le samedi soir, lors de la veillée d’adoration, elles ont médité en chantant le chapelet de la miséricorde et réfléchi sur des extraits de textes de Sainte Faustine. Leur démarche jubilaire a trouvé son point d’orgue dans le franchissement de la Porte Sainte le lendemain à Sainte Anne d’Auray. « A la fin du pélé, une amitié semblait naître et nous nous réjouissons de nous retrouver l’année prochaine », conclut enthousiaste Sophie.
Miséricorde dans le couple et la famille
Voici mesdames quelques perles, glanées au fil du pèlerinage :
- » Regardez comme votre mari est beau et ne parlez de lui qu’en bien » car il vous aime, mais avec ses limites ! » / » Les époux qui s’aiment et s’appartiennent parlent en bien l’un de l’autre «
- » L’amour cohabite avec l’imperfection, il sait garder le silence des imperfections de l’être aimé «
- » Prendre soin de son intégrité, c’est aussi prendre soin des autres «
- » Comme une fontaine, sois tu regardes le réceptacle sale, soit tu regardes l’eau qui sans cesse se renouvelle … Qui renouvelle : c’est ça la miséricorde ! « .