La « diaconie » renvoie à notre mission de baptisé et à la mission de chaque communauté chrétienne : être proche des plus fragiles. Un pôle Diaconie existe sur notre diocèse : Son activité se développe en lien avec divers mouvements, associations, groupes.

Fraternité – Diaconie

La mission de la Diaconie se développe en lien avec divers mouvements, associations, groupes :

  • pour créer du lien, du « vivre ensemble »
  • pour être veilleur dans son milieu de vie
  • pour identifier les fragilités au sein de sa paroisse 
  •  pour vivre la solidarité : réfléchir, agir…
  •  pour aider l’Eglise : les chrétiens, les communautés chrétiennes en difficulté…

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Contacts

55 rue Mgr Tréhiou
56 000 Vannes

diaconie@diocese-vannes.fr

Déléguée épiscopale à la diaconie diocésaine : Mme Bénédicte DRIEU-LA ROCHELLE
responsable.diaconie@diocese-vannes.fr / 06 58 01 68 03

Dans chaque Pays, un diacre référent peut être contacté.

Jésus nous attend aux périphéries

« Le Fils de l’homme n’est pas venu pour être servi mais pour servir et donner sa vie en rançon pour la multitude » (Mc 10, 45).

Table ouverte des 14 & 15 dec 2013 -34« Habillés du tablier de service, à la manière du Christ, nous sommes attendus par les personnes fragiles, nous sommes attendus sur les chantiers de la fraternité. C’est là, au coeur de la dignité de toute personne, que le Christ nous donne rendez-vous !  » (Père Hervé Perrot, délégué épiscopal à la diaconie).

Communautés paroissiales, mouvements et services d’Église, consacré(e)s, etc. Nous sommes tous interpelés.

Les pauvres nous évangélisent ; en les rencontrant, nous rencontrons Jésus Lui-même qui s’est identifié aux plus pauvres.

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Servir son frère

Notre foi doit entrer dans le concret de notre vie. En Jésus, Dieu nous a indiqué comment vivre. Chacun de nous peut faire quelque chose, à commencer par prier et, tout simplement, orienter les personnes vers les soutiens les plus appropriés à leur situation.

Pauvreté, misère, exclusion… Derrière ces mots, des hommes et des femmes souffrent et luttent pour s’en sortir, pour vivre dignement et assurer leur épanouissement et celui des leurs. Ces souffrances sont de tous ordres : sociales, économiques, spirituelles, familiales.

« Ce que vous avez fait au plus petit de mes frères, c’est à moi que vous l’avez fait »
(Mt 25,40).

Solidarité

Tous ceux qui souffrent doivent entendre que Jésus les aime gratuitement, infiniment. Il ne cesse de venir à notre rencontre, particulièrement lorsque nous souffrons.

« C’est l’amour que vous avez les uns pour les autres qui montrera que vous êtes mes disciples »

Croyons-nous ? Foi et charité « se réclament réciproquement, si bien que l’une permet à l’autre de réaliser son chemin ». Alors, servons nos frères les plus pauvres. Annonçons-leur que Dieu les a choisis, qu’Il les invite dans Son royaume !

Si vous-même, ou une personne de votre entourage, connaissez une situation difficile, ou si vous désirez contribuer à l’action de solidarité menée par les différents services ou mouvements diocésains : découvrez les différentes propositions, et n’hésitez pas à prendre contact !

S’engager auprès de nos frères dans le besoin

Au service de l’Eglise

Dans la vie publique

S’engager dans la prière

S’engager en faisant un don

Smiley

Serviteurs…

Nous sommes tous en capacité de nous lier avec nos frères les plus fragiles : que ce soit par l’action, par la prière ou par la simple écoute… Membre de l’Eglise, Corps du Christ, soyons tous dans le monde le signe vivant de l’amour du Père, pour tout homme, quels que soient sa condition, sa misère et ses besoins.

Serviteurs des plus petits, des plus fragiles

Jésus fait siennes nos souffrances. Il nous invite à adopter les mêmes dispositions de cœur que lui : un cœur brûlant d’amour, qui révèle la miséricorde du Père, Son amour inconditionnel pour tout homme. Comme il prend soin de nous, Jésus nous demande de nous mettre gratuitement au service de ce frère qui ignore qu’il est aimé d’un si grand amour, qui désespère de lui, des autres et du monde dans lequel il vit. L’amour du Christ nous pousse à devenir des serviteurs des plus petits, des plus fragiles. Jésus nous invite à mettre à son service toutes nos capacités pour participer pleinement à la construction d’une société plus juste, plus fraternelle.

BENEVOLES

Servir ?

Sommes-nous si fermés en nous-mêmes que nous ne voyons plus celui qui souffre ? C’est la question que nous pose le Pape François. Disons-nous chaque fois que nous percevons cette souffrance : comment puis-je aider ? Ou chassons-nous cette « idée » surgie du bout de notre cœur parce que nous manquons de temps, la tâche paraît vaine, etc… Il s’agit déjà d’accueillir ce frère et d’entrer en relation avec lui. Nous découvrons alors qu’ils nous rendent meilleurs.

Citations du Saint Père

« L’accueil à lui tout seul ne suffit pas. Donner du pain ne suffit pas, s’il ne s’accompagne pas de la possibilité d’apprendre à marcher avec ses propres jambes. La charité, qui laisse le pauvre tel qu’il est, n’est pas suffisante. La vraie miséricorde, celle que Dieu nous donne et nous enseigne, demande justice, demande que le pauvre trouve la voie pour ne plus être tel. »

« Que nos vies soient imprégnées de miséricorde pour aller à la rencontre de chacun en lui offrant la bonté et la tendresse de Dieu! Qu’à tous, croyants ou loin de la foi, puisse parvenir le baume de la miséricorde comme signe du Règne de Dieu déjà présent au milieu de nous ».

« Redécouvrons les œuvres de miséricorde corporelles : donner à manger aux affamés, donner à boire à ceux qui ont soif, vêtir ceux qui sont nus, accueillir les étrangers, assister les malades, visiter les prisonniers, ensevelir les morts. Et n’oublions pas les œuvres de miséricorde spirituelles : conseiller ceux qui sont dans le doute, enseigner les ignorants, avertir les pécheurs, consoler les affligés, pardonner les offenses, supporter patiemment les personnes ennuyeuses, prier Dieu pour les vivants et pour les morts ». (Misericordiae Vultus, Pape François)